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Kunst

Skin marks us in the world
Skin marks us in the world

Eduardo Jorge de Oliveira

Invented Skins

You never know how many skins you have had by having a single skin. However, this skin has an inseparable memory of the future. Its vital movement depends on this dynamic that inserts it in a specific present. Thus, if skin makes us human, it is also a set of points that mark different ways of feeling. We feel the world through the fragility of our skin. Microorganisms exist in this skin. The most human portion also contains inhuman matter...
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Ist das Drama k.o.? Ist das Theater k.o.?

Alexander García Düttmann

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Folgt Andy Warhol und seiner feinen Nase für Kunst
Folgt Andy Warhol und seiner feinen Nase für Kunst

Catherine Ingram, Andrew Rae

Wo ist Warhol?

STUDIO 54: Das New York der 1970er-Jahre war im Vergleich zu heute eine völlig andere Stadt. Vor dem Hintergrund hoher Kriminalität, politischer Unzufriedenheit und sozialer Ungleichheit schufen Steve Rubell [1] und Ian Schrager [2] in einem alten Fernsehstudio in Manhattan eine Insel des Hedonismus – das berühmt-berüchtigte Studio 54. Andy Warhol ließ sich fast jede Nacht dort sehen. Zu seinem Kreis gehörten Elizabeth Taylor [3], Liza Minnelli [4], Elton John [5], Yves Saint Laurent [6] und Truman Capote [7]. Warhol umgab sich am liebsten...
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Jean-Luc Nancy

Après les avant-gardes

Il me semble que le mot « avant-garde » a toujours été pour moi une espèce de souvenir. J’ai dû l’entendre autour de 1960, alors que le surréalisme ne se portait déjà plus très bien. Presque en même temps je découvrais Bataille et Artaud, que n’accompagnait aucune étiquette d’avant-garde. Mais c’est l’ensemble du climat de pensée qui se modifiait de manière profonde dans les après-coups de la guerre.

Les avant-gardes – ou du moins ce nom : il ne s’agit que de son usage – ont eu d’emblée pour moi un goût de passé. D’arrière-garde, en somme. Je ne plaisante pas : je pense que le soupçon porté sur la nature militaire de la métaphore était déjà présent dans le contexte où je découvrais le mot. Pourquoi fallait-il que l’art opère comme une armée ? Il y avait un doute. Ce n’était pas tant l’idée de la lutte ou du combat qui était préoccupante...

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